Lemot ĂŽle-aux-Moines Ă©pellĂ© Ă l'envers est seniomxuaeli qui n'est pas un autre mot. Liste de mots. Tous les critères sont optionnels et peuvent ĂŞtre combinĂ©s. Trouver un mot. Dont la dĂ©finition contient . Commençant par. Finissant par. Avec les lettres et pas d'autres lettres. Sans les lettres. Nombre de lettres. Types de mots. Trouver les mots. Recherche de mots Ă trous. VousCet article a Ă©tĂ© automatiquement importĂ©, son contenu peut ĂŞtre sujet Ă caution. Le contenu des articles engage uniquement la responsabilitĂ© de leurs auteurs visibles dans l'historique.Vous pouvez modifier l'article après avoir créé un compte pour l'amĂ©liorer directement ou retirer ce bandeau si l'article vous semble correct en supprimant la ligne {{Article importĂ©}}. Si l'article est trop problĂ©matique, il peut ĂŞtre supprimĂ© en retirant tout son texte et en expliquant le motif dans la zone RĂ©sumĂ© » de la page de modification. La mise en forme de cet article est Ă amĂ©liorer mai 2016. 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Diego se fait alors capturer avec les indigènes sur le bateau pour son opposition. Son père ne peut rien faire car il est sous les ordres d'un homme envoyĂ© par le roi d'Espagne. Un des indigènes s'appelle Mehani, il devient l'ami de Diego. Diego l'aide Ă s'Ă©chapper et il s'Ă©chappe lui aussi. Ils plongent dans l'eau. Diego se noie. Le lendemain, Diego se rĂ©veille après sa longue inconscience. Il se trouve sur une plage et rencontre trois jeunes femmes et trois hommes Itia, Omaata, Fahina, Mehoro, Ohou et Timi. Ils sont souriant et passent leur temps Ă rigoler. Ils retrouvent Mehani et se rendent compte que les espagnols brĂ»lent les habitations de l'Ă®le de Hao. Diego est fâchĂ© contre son peuple. Il apprend Ă vivre sur l'Ă®le et Ă parler leur langue. Il apprend la pĂŞche en plongeant mais surtout, il tombe amoureux d'Itia. Mais il devient vite jaloux de Mehani car il est très proche d'Itia. Des malheurs se produisent crĂ©atures bizarres, accident miraculeux, disparitions de provisions , ... et l'Ă®le se sĂ©pare en deux clans ceux qui sont pour que Diego reste clan de l'Ouest et ceux qui sont pour qu'il parte clan de l'Est. Une vieille voyante du clan de l'Est arrive et prĂ©vient que si Diego ne part pas, il arrivera des malheurs terribles. Le lendemain, Diego entend des cris et s'y rend. Une femme est morte elle se serait faite tuĂ©e par un yarimu esprit qui serait ramenĂ© sur l'Ă®le par Diego. Mehani raconte Ă Diego qu'ils ont des coutumes. Ils ont un dieu qui a créé la Terre. Il aurait créé des cailloux qui volent. A force de voler, les cailloux fatiguent, se posent, s'assemblent et forment des collines et des montagnes. Ces cailloux abritent des esprits les yarimus. Apres cette explication, ils entendent des cris et s'y rendent. Ohou, le frère de Mehani est mort. Mais les gens protestent Ă l'idĂ©e que ce soit un yarimu qui l'ait tuĂ© car il a Ă©tĂ© attaquĂ© par derrière ce qui n'est pas courageux, comparĂ© Ă la puissance des yarimus. C'est un homme. Les hommes de l'Est sont directement accusĂ©s. Mehani explique Ă Diego ou Tiko, sont surnom qui signifie Diego sur l'Ă®le d'Hoa qu'il y a un diable dans l'Ă®le. La case d'Itia se met Ă bruler sur le toit. Diego sauve la grand mère et le petit frère d'Itia. Mais sa mère et son frère moururent. Ă€ la suite de cela, les gens de l'Ouest ses amis dĂ©cident de le tuer et considèrent que c'est le diable. Diego dit alors Ă tout le monde que si il retrouve l'assassin car les yarimus sont ne sont que des lĂ©gendes il le tuera et le ramènera pour prouver qu'il n'a rien fait. Les autres dĂ©cidèrent de lui laisser alors une dernière chance. Diego partit dans la nuit pour tuer le yarimu. Il vit une ombre, sortit son couteau et attaqua. L'ombre se rĂ©vĂ©la ĂŞtre Itia. Il s'en voulut beaucoup. Elle voudrait l'accompagner. Diego accepte. Ils marchent longtemps et arrivent au mont Wuhngin. Il entendent des coups de feu. Une personne tire avec une arquebuse. Diego se rend dans sa grotte mais c'est sur une falaise il a le vertige. Il affronte le fou c'est son frère. Le combat est inĂ©gal car Felipe a une Ă©pĂ©e et Diego a un couteau mais Diego le bat. Il ne veut pas tuer Felipe il considère que ce serait lui donner raison il voulait mourir. Felipe avait fait tout ça par jalousie de Diego pour ses rapports avec leurs parents. Alors il le laissa en vie et le convainc de retrouver le bonheur malgrĂ© le passĂ©. Itia vu Felipe le yarimu en vie et le tua en lui envoyant une flèche de son arc dans le cou. Il tomba Ă terre. Diego et Itia transportèrent le corps en traversant le clan des gens de l'Est sans encombres. Tous les gens de l'Est mirent Felipe dans une pirogue et le poussèrent Ă l'eau. Épilogue Diego a trente ans. Il est cacique de l'Ă®le et Ă deux filles. L'Ă®le se fait attaquer par des navires espagnols. Tous les habitants de l'Ă®le partent se rĂ©fugier. Dans la dernière phrase de tout le livre, Diego dĂ©clare une phrase philosophiquement belle Je ne pense pas qu'ils me laisseront longtemps la vie sauve. Je m'en moque. J'ai vĂ©cu ce que j'avais Ă vivre. » Sur cette note de beautĂ© littĂ©raire, l'histoire de Christian de Montella se termine. Article publiĂ© sur Wikimonde Plus Portail de la littĂ©rature française Erreur Lua dans ModuleSuivi_des_biographies Ă la ligne 193 attempt to index field 'wikibase' a nil value. Cetouvrage nous plonge dans l’intimitĂ© des Ă®les de Sein, d’Ouessant, et de l’archipel de Molène, au cĹ“ur de la RĂ©serve de biosphère des ĂŽles et de la mer d’Iroise. Julien Amic explore ces territoires et les raconte merveilleusement. On les dĂ©couvre au fil des images et en cheminant entre les maisons et les roches, en allant Ă
Île est un voyage poétique où s’entrecroisent les générations. Nous découvrons l’histoire d’une jeune femme, danoise par son père et féroïenne par sa mère, qui rend visite à sa famille maternelle sur la trace de ses ancêtres. Elle fait partie de la troisième génération d’immigrés, celle qui est à moitié chez elle dans son pays, à moitié chez elle dans son langage », une narratrice partagée entre le Danemark où elle vit et les Îles Féroé où se trouvent ses racines. En parallèle, nous découvrons le récit fondateur de sa famille et la traversée effectuée par sa grand-mère pour rejoindre son mari désormais installé à Copenhague. Afin de trouver du travail et bâtir un foyer sur le continent, ils ont laissé derrière eux leur vie insulaire et une partie de leur âme. Nous sommes dans les années 30 et la Guerre va éclater, le couple ainsi que leur fille, la mère de la narratrice, se retrouvent alors du mauvais côté de l’Histoire…Entre mythes familiaux et nationaux, ce roman de l’entre-deux explore la question des origines ainsi que de l’héritage. En faisant alterner l’histoire des grands-parents de la narratrice et la quête identitaire de celle-ci, Siri Ranva Hjelm Jacobsen compose un premier roman d’une grâce bouleversante. Sa plume nous emporte dans un univers fabuleux où les maisons soutiennent les montagnes et où les pierres bourdonnent lorsqu’on les touche. Un merveilleux voyage aux Îles Féroé et dans l’intimité d’une jeune femme partagée entre deux cultures. Siri Ranva Hjelm Jacobsen fait partie des rares auteurs qui parviennent à créer de la magie à partir de presque rien. Elle saisit ce qui est vague et incompréhensible, l’inoubliable qui respire entre les mots, entre les personnages et les générations. Elle saisit ce qu’il y a de plus beau et de plus douloureux la nostalgie du temps. Il ne s’agit pas d’une petite prouesse, mais d’un triomphe. » Jón Kalman StefánssonTraduit du danois par Andreas Saint Bonnet
Motde passe. Mot de passe oublié ? Afficher ou masquer le menu Menu. Accueil. Ressources. Parcours Chercheurs. Services. Recherche avancée. Recherche experte Pour en savoir plus sur les moteurs. Le désert des Tartares . Dino Buzzati. Affiner le résultat de recherche avec le type de document Livres imprimés
Datede publication : 2022-06-28. ePub sans DRM. 8,99 €. Téléchargement ebook sans DRM. Gagnez 0,90 € en recommandant ce livre avec. Readzis. C’est durant ses études en Allemagne que Jean-François Clermont, informaticien de formation, marié et père de famille, découvre la sensibilité poétique du XIXe siècle.
La semaine dernière, un journaliste du Guardian», John Dugdale, s’inquiétait les auteurs seraient-ils à court de titres ? Depuis quelques temps, il semble en effet que le roman anglo-saxon souffre d’homonymie, une maladie littéraire qui amène plusieurs livres à porter le même titre. En 2013, l’américaine Jill McCorkle et l’anglaise Kate Atkison publiaient avec seulement six jours d’écart un livre intitulé Life After Life». Cette année, deux romans reprennent le titre d’une chanson de Gary Glitter datant de 1974, Remember me this way». Les exemples antérieurs ne manquent pas Cloud Atlas» de David Mitchell adapté en film en 2012 et The Cloud Atlas» de Liam Callanan, Possession» d’Antonia Susan Byatt et d’Ann Rule, Forever» de Pete Hamill et de Judy Blume ou encore Winter’s Tale» de Mark Helprin qui reprend, quatre siècles plus tard, le titre du fameux Conte d’Hiver» de suite après la publicité Mais le cas le plus emblématique est sans doute celui d’Emily Schultz. En 2005, cette jeune écrivain publie Joyland», qui passe inaperçu. Huit ans plus tard, son éditeur l’appelle pour lui annoncer une nouvelle des plus surprenantes sur Amazon, la version numérique du livre s’est vendue à 200 exemplaires en une semaine. Des centaines de lecteurs se seraient-ils réveillés avec une envie soudaine de lire du Schultz ? Malheureusement pour elle, non. Ils ont acheté le roman par erreur. Car en 2013, un auteur un peu plus connu qu’Emily Schultz sortait un livre lui aussi nommé Joyland» Stephen King. Homonymes, pour le meilleur et pour le pire Les lecteurs commencent par ne pas s’apercevoir de la confusion. Ils font même payer à King ce changement improbable de style, à coups de commentaires et de notations négatives Pas au niveau d’un Stephen King. Ennuyeux et sans intérêt. Pas de suspense», déplore une internaute. D’abord chagrinée par les critiques, Emily Schultz avoue qu’elle s’en est vite remise, lorsqu’elle a commencé à recevoir ses royalties. Depuis, elle a créé un Tumblr assez original, Spending the Stephen King Money», sur lequel elle détaille les achats réalisés avec l’argent du maître de l’horreur un Macbook, un restau, une coupe de cheveux pour son compagnon. Avec les compliments du King. Pas sûr qu’un tel happy end arriverait en France. La preuve avec Michel Levy, qui s’est étranglé en 2010 lorsque Michel Houellebecq a sorti la Carte et le territoire». Contrairement à Emily Schultz, la parution de ce roman homonyme n’a pas du tout amusé Levy, qui avait autoédité en 1999 un recueil de nouvelles précisément intitulé la Carte et le territoire». Il a accusé l’auteur de Plateformes » de plagiat et, lorsque ce dernier a reçu le Prix Goncourt, écrit une lettre au jury pour raconter la spoliation dont il avait été la victime. L’éditeur de Houellebecq, Flammarion, s’est contenté de répondre que le recueil de Levy n’a jamais été publié et que ce titre n’a rien d’original». D’autant que les deux auteurs ont trouvé ce titre au même endroit il s’agit d’une référence à l’aphorisme d’Alfred Korzybski Une carte n’est pas le territoire.»La suite après la publicité Que dit la loi ? Qu’est-ce qu’un titre original» ? L’article L112-4 du Code de la propriété intellectuelle» dit ceci Le titre d'une œuvre de l'esprit, dès lors qu'il présente un caractère original, est protégé comme l'œuvre elle-même. Nul ne peut […] utiliser ce titre pour individualiser une œuvre du même genre, dans des conditions susceptibles de provoquer une confusion.»L’éditeur Serge Safran ajoute qu’en France, il est possible d’utiliser en titre n’importe quel nom commun avec un article défini». Mais même avec l’assentiment de la loi, on imagine mal un écrivain contemporain titrer son roman l’Étranger», le Procès» ou l’Amant». Pourtant, au cours de sa carrière, Serge Safran a croisé plusieurs manuscrits intitulés la Chute», comme le roman de Camus. Avant de donner un titre, tout éditeur doit vérifier sur une base de données qu’il n’existe pas déjà . Le dernier exemple qui m’a frappé, c’est celui de Dan Brown, avec ’Inferno’’. Ca prouve soit le cynisme de l’éditeur, soit son inculture pour quelqu’un de cultivé, connaissant la littérature, ’Inferno’’ est le livre d’August Strindberg. Dans un autre genre, il y avait ’Le Diable au corps’’ de Raymond Radiguet, qui porte le même titre que le roman érotique d’Andréa de Nerciat. Dans ce cas-là , il y a prescription à cause de la séparation des siècles.»Le grand huit de Marc Dugain Si les éditeurs vérifient systématiquement la disponibilité des titres, leur méthode n’est pas infaillible. En 2011, fait très rare en France, deux romans, l’un de Frédérique Clémençon, l’autre de Christine Angot, paraissent à une semaine d’intervalle avec le même titre, les Petits».La suite après la publicité Lorsque leurs éditeurs respectifs L’Olivier et Flammarion ont fait une recherche d’antériorité, le titre était libre. Chacun a donc déposé son manuscrit et ainsi validé sa trouvaille. Selon Serge Safran, en France, ce genre de coïncidence est très rare». En utilisant la base de données des éditeurs, nous avons passé au crible les livres du palmarès des meilleurs ventes GfK-Nouvel Obs» de la semaine dont fait d’ailleurs partie Joyland». Central Park» de Musso a un homonyme de 1982, signé Stephen Peters; la Faiseuse d’anges» de Camilla Läckberg en a deux un roman de Sandrine Destombes paru en janvier 2014 et un autre d’Ali Lapointe et Marine Oumar datant de 1995. Mais le grand gagnant, c’est l’Emprise» de Marc Dugain, qui reprend un titre déjà utilisé sept fois par le passé. Alors comment éviter que le virus de l’homonymie se répande davantage? Depuis quelques années, les éditeurs ont trouvé la parade allonger les titres. L'art du titre connaît des évolutions inattendues qui n'en finissent d'ailleurs pas de surprendre On mentionnera le livre de Tancrède Voituriez, que Grasset a intitulé les Grandes perturbations surviennent dans les régions où l'atmosphère est d'ordinaire instable». Allez en trouver un autre dans l’histoire littéraire. On pourra autrement faire appel à un générateur de titres». Le meilleur des remèdes étant, indubitablement, de faire marcher son imagination. Chloé Thibaud . 456 397 316 394 89 250 323 147